ENTRE CHARGE MENTALE ET SANTÉ MENTALE
Pessah ou le passage
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PSYCHOTHÉRAPIE DE “SANS-FAMILLE”
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(Ne pas) penser l’avenir
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#psychanalyse
Ce texte a été prononcé par son auteur en introduction à la table ronde « La psychanalyse à venir » dans le cadre du colloque « L’humain qui vient » organisé du 16 au 18 novembre 2022 à Paris pour la journée mondiale de la philosophie par l’UNESCO et Le Fresnoy – Studio national des arts contemporains, en partenariat avec Les Rencontres Philosophiques de Monaco.
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Débat sur la prise en charge de l’enfant en demande de transition : les prises de position du collectif « la petite sirène »
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Choix de genre et (non) assignation. Un monde sans symptôme ?
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Prendre le temps et laisser l’enfant jouer
Serge Hefez est psychiatre et psychanalyste. Il est notamment responsable de l’unité de thérapie familiale dans le service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
Pour Tenou’a, il explique ce qui se pratique et se joue dans la prise en charge de la « dysphorie de genre » chez l’enfant et l’adolescent, et formule une certaine amertume quant à un débat dont les enjeux dépassent de loin l’intérêt de l’enfant en souffrance qui, lui, a avant tout besoin d’écoute et de temps.
Entretien
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Une rencontre idéale ?
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Le bon chef, celui qui ne s’y croit pas trop
Que nous apprend la psychanalyse de ce qui fait un leader ? Entre le chef tout-puissant et celui qui n’a que les atours du pouvoir, comment se dessine la civilisation ?
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La mère (juive), le père et le psychanalyste
Le psychanalyste traditionnel s’appuyait sur la figure du père, tiers protégeant le sujet de la relation incestueuse avec la mère. La mère juive, figure de tous les excès, ne pouvait alors que faire office de repoussoir pour la psychanalyse. A contrario, une partie des psychanalystes contemporains a tendance, après Winnicott, à s’identifier à la mère dans le transfert. Mais quel écart entre cette mère-analyste « suffisamment bonne » et la mère ogresse des histoires juives ?
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