Quand le mental fait mal
L’édito de la rédaction
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L’édito de la rédaction
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Le concept de « santé mentale » est sur toutes les lèvres depuis le début de la pandémie de SARS-Cov-2. À force de battage médiatique, le concept s’est frayé un passage dans nos pensées quotidiennes. Cela dit, personne n’a pris le temps de définir de quoi on parle exactement.
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La Fondation OPEJ est née en 1945 sous le nom d’œuvre de protection des enfants juifs pour accueillir et protéger des enfants dont les parents avaient été déportés. Elle poursuit son action au travers de ses structures de prévention, de protection et d’accompagnement de l’enfance, la jeunesse et la famille. La vocation de la Fondation OPEJ Edmond de Rothschild est de protéger les enfants et les jeunes contre toutes les formes de maltraitance, d’abandon, d’abus et de carences.
Tenou’a a rencontré son directeur général et l’une des psychologues qui y intervient auprès des adolescents.
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Pessah ou le passage
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Depuis son enfance, Sally Berkovic côtoie les morts. Née en Australie de parents slovaques survivants de la Shoah, elle a grandi sans grands-parents. Sa mère, son père et son frère sont morts soudainement à un âge encore jeune. Dans un livre intitulé Devoirs mortuaires :
La société funéraire juive Hevra kaddisha, publié en anglais en 2022, elle fait dialoguer son expérience de la mort avec son engagement au sein de la Hevra kaddisha de sa communauté orthodoxe de Londres où elle vit et travaille depuis une trentaine d’années.
La Hevra kaddisha, est un groupe de bénévoles juifs qui se charge avec discrétion de la toilette mortuaire (tahara) avant l’enterrement du défunt.
Nous reproduisons ici la section qui traite de la mort et des rituels funéraires juifs pendant la pandémie du Covid, ainsi qu’un appel vibrant aux Juifs afin qu’ils s’engagent dans une Hevra kaddisha et accomplissent ainsi la mitsva revêtant le plus d’abnégation puisqu’ils ne peuvent être remerciés.
Textes choisis et présentés par Brigitte Sion
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Le suicide est interdit par la loi juive, parce que l’humain n’est pas « propriétaire » de sa vie. Mais pour que la transgression soit prouvée, encore faut-il que la personne se soit suicidée « en pleine conscience ».
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Avec le succès grandissant de la méditation de pleine conscience et ses applications thérapeutiques venues des États-Unis, les pratiques spirituelles issues du bouddhisme ont intégré le champ de la santé mentale en Occident depuis les années quatre-vingt-dix. Que peut nous dire le judaïsme à ce sujet ?
Éclairages sur un phénomène encore peu exploré.
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« La souffrance psychique et la santé mentale semblent être l’horizon de l’individualisme contemporain, comme le paradis et l’enfer étaient celui du Moyen Âge. »
Alain Ehrenberg
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La revue des réseaux
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Conseil lecture
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Conseil lecture
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