Édito : À TOUT JAMAIS, LEURS VOIX…
L’édito du numéro hors-série Yom HaShoah 2019.
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L’édito du numéro hors-série Yom HaShoah 2019.
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Le 6 avril 1944, les 44 enfants juifs réfugiés de la maison d’Izieu sont raflés et déportés à Auschwitz, sur ordre de Klaus Barbie. Ils ont entre 4 et 16 ans. Aucun ne reviendra. Presque 70 ans après, en 2012, la classe de CM1 de l’école publique Jean Régnier à Blanzy (Saône-et-Loire) prépare une pièce de théâtre sur l’histoire de ces 44 enfants. Lisa, Lucas, Samuel et les autres ont répété toute l’année. Le spectacle s’appelle « Kinderlekh ». Cela signifie « petits enfants » en yiddish.
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Durant l’hiver 1943-1944, Samuel Pintel, 6 ans, trouve refuge dans la maison des enfants d’Izieu. En plein hiver, cette maison remplie d’orphelins est loin de l’image de colonie de vacances que l’on peut parfois imaginer. Les 44 enfants arrêtés, déportés et assassinés, Samuel Pintel les a tous connus à Izieu.
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Dans un petit ouvrage publié par l’Éducation nationale, le philosophe Gérard Rabinovitch livre des clés, des pistes, des questions, des outils pour aider les enseignants à se préparer à l’enseignement de l’Histoire de la Shoah auprès de leurs élèves.
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Le livre Georgy, un des 44 enfants de la maison d’Izieu occupe une place à part parmi les ressources proposées par l’association L’enfant et la Shoah – Yad Layeled France pour enseigner l’histoire de la Shoah à l’école.
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Le soir de Yom Kippour 2018, alors que résonnaient les premières notes de Kol Nidré, Marceline Loridan- Ivens, si chère amie de Tenou’a, mourait, nous laissant incrédules et immensément tristes. Nous avions été naïfs sûrement mais pourtant si nombreux à nous raconter cette même fable pour enfants dans laquelle elle était à la fois la princesse et le prince charmant : elle nous enterrerait tous sans jamais cesser de se marrer ; elle était revenue, avait vaincu les camps ; rien ne pouvait la tuer et surtout pas le temps.
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