Édito : La H’shouma
L’édito séfarade du rabbin Delphine Horvilleur
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L’édito séfarade du rabbin Delphine Horvilleur
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L’édito ashkénaze du rabbin Delphine Horvilleur
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Ah si Laurent Sagalovitsch avait pu naître séfarade, il embrasserait la vie et ne s’encombrerait pas de toutes ces angoisses d’Ashkénaze… à moins que cela ne suffise pas et qu’un patronyme soit parfois trompeur.
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Séfarade fut d’abord un nom de lieu pour devenir un ethnonyme. Ashkénaze, à l’inverse, est un nom de peuple devenu un nom de lieu. À l’origine, ces termes ne désignaient pas les Juifs mais des lieux et des peuples dans lesquels les Juifs se sont installés au cours de leurs différents exils.
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Le féminisme séfarade n’existe encore que de façon éparse. Pour Noémie Issan-Benchimol, il trouve surtout son expression dans les tensions plus globales entre «haute culture» et «sous-cultures» méprisées.
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On ne se convertit jamais seulement au judaïsme. On se convertit à un rite, à une culture, à une mémoire, à un imaginaire, explique Jean-Christophe Attias
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Avec la série “Our Boys” , le spectateur découvre un monde religieux acculturé où plus rien de subsiste de la culture séfarade, de sa richesse ni de ses délices.
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La première identité des Séfarades est la judaïté. Tout le reste n’est que pure forme, peut varier au fil de la vie et des générations, dans une attitude de sage recul.
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La cuisine séfarade ne s’apprend pas dans les livres, elle se goûte, elle se vit, et il faut, pour la maîtriser, observer celles qui savent.
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L’âge d’or espagnol, l’accueil du sultan, ce sont de jolies histoires pourtant assez éloignées de la réalité du statut des Juifs de l’époque, comme le montrent les travaux des historiens.
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Depuis sa création, Israël cherche, selon Neriah Raphaël Knafo, à maintenir les séfarades sous domination, à les acculturer et à leur interdire l’accès au pouvoir. Rien, pourtant, ne pourra avancer dans le pays sans cette force séfarade.
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Comme un ailleurs, le monde ashkénaze sonnait aux oreilles de Sefwoman ado comme la promesse d’un paradis.
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Ashkénaze est un nom de peuple devenu un nom de lieu. Séfarade, à l’inverse, fut d’abord un nom de lieu pour devenir un ethnonyme. À l’origine, ces deux termes ne désignaient pas les juifs mais des lieux et des peuples dans lesquels les juifs se sont installés au cours de leurs différents exils.
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Être femme, juive et noire, c’est se retrouver sans cesse assignée par les autres à des places qu’on ne choisit pas. Jamais assez ceci, toujours trop cela, il ne reste pour en sortir qu’à embrasser les combats pour se tourner enfin vers l’autre en soi et vers les autres dans le réel.
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Le yiddish n’est plus guère parlé que par une minorité de passionnés et, au quotidien, par des hassidim à travers le monde. Langue décalée, ironique, langue toujours à interpréter, le yiddish donne à entendre bien plus que ce qu’il dit.
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Qui eut cru que cette jeune fille toute séfarade deviendrait un jour un peu Ashkénaze, apprendrait à en aimer la culture et l’ambiance, tandis qu’un jeune homme tout ashkénaze s’essaierait avec délice à la boutargue, à la boukha et aux youyous ? C’est de l’amour que naissent les plus belles rencontres et les métissages les plus heureux.
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Longtemps, on ne voyait sur les écrans israéliens que des figures Ashkénazes. Désormais, les « Orientaux » occupent une place significative dans la production cinématographique du pays. Et avec eux, d’autres« minorités » : homosexuels, Éthiopiens, Russes… Une tendance qui dépasse d’ailleurs largement le cinéma et infuse toute la culture d’Israël.
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Quand un tailleur rencontre un autre tailleur, qu’est-ce qu’ils se racontent? Et bien, ils parlent fort, pour le plus grand régal de la petite fille qui observe, pleine de malice, cette rencontre entre un monde de l’est et un monde du sud.
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De New-York à Montréal, de Los Angeles à Chicago, il est une institution culinaire héritée du monde juif d’europe centrale : le « deli ». On y mange des bagels au saumon et au cream cheese, du pastrami, des soupes de poulet ou des matzo balls. Et pour cela, nul besoin d’être ashkénaze, ni même juif.
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Qui mieux qu’une conteuse pour faire vivre le narratif ashkénaze, la candeur paisible du shtetl tout autant que la tristesse de son anéantissement?
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Au-delà de cette dichotomie un peu artificielle Ashkénazes/ Séfarades, on voit s’ouvrir la diversité du monde juif. Et si les Juifs éthiopiens nous offraient d’autres perspectives en enrichissant la tradition juive ?
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