Léa Taieb

Léa Taieb

Léa Taieb est journaliste.

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 Ismaël Saidi, artiste allié

Depuis une dizaine d’années, Ismaël Saidi écrit, met en scène et joue dans les pièces de théâtre qu’il imagine. Des pièces de théâtre qui tentent d’agir sur la haine de l’autre et le repli communautaire. Fin octobre 2023, il écrit une tribune dans laquelle il dénonce l’antisémitisme islamiste. Depuis, régulièrement, sur le compte Instagram @procheourien, l’artiste prend la parole à travers des vidéos pédagogiques rappelant les origines comme la complexité du conflit israélo-palestinien. Cette année, il revient avec une pièce qu’il avait pensée bien avant le 7 octobre, une pièce qui étudie la psyché des Israéliens comme celle des Palestiniens, une pièce pour écouter la voix de l’autre. Portrait d’allié. 

 

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Diane Richard, une alliée éprise de justice

Depuis quelques mois, Diane Richard est une personnalité militante qui a émergé dans nos bulles “lutte contre l’antisémitisme, le complotisme et le négationnisme” sur les réseaux sociaux. Comment a-t-elle atterri ici, dans notre chambre d’écho? À la suite de la marche du 25 novembre 2023, la militante féministe a dénoncé la volonté d’exclusion des femmes juives de certaines organisations féministes. Après plusieurs vagues de harcèlement, Diane Richard continue son combat contre l’aveuglement militant à gauche. Contre l’antisémitisme déguisé en antisionisme. Portrait d’alliée.

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Un groupe WhatsApp pour continuer à créer depuis le 7/10

Que vivent les nouvelles générations de créatifs juifs depuis le 7 octobre? Peuvent-elles continuer à faire ce qu’elles faisaient dans le milieu auquel elles appartenaient? Il y a quelques mois, la rédaction de Tenoua a intégré un groupe WhatsApp de jeunes Juifs évoluant dans des environnements culturels et artistiques, des personnalités anxieuses et solidaires les unes des autres. Comment continuer à créer au sein de mondes de plus en plus hostiles aux “sionistes”?

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Axelle Tessandier, hyperactive alliée

Depuis le 7 octobre, au sein de la rédaction de Tenoua, on a parfois l’impression que le pire s’ajoute au pire (chaque reconnexion sur les réseaux sociaux engendre ulcères et torticolis), que la complexité est portée disparue, que l’espoir se trouve dans… le sucre. Mais aussi, en donnant la parole à des femmes et des hommes qui s’engagent pour que l’on ne soit plus si seuls. 

Axelle Tessandier fait partie des rares personnes à prendre la parole contre l’antisémitisme, à relayer des témoignages de victimes israéliennes du 7 octobre, à se sentir concernée par le sort des personnes juives. Depuis le 7 octobre, ses publications sur les réseaux comme sa présence dans la rue nous sauvent du repli communautaire. Portrait.

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  • Léa Taieb

“Les sans-cœur ont un cœur”

Mardi 24 septembre, le Mémorial de la Shoah a accueilli l’avant-première de La plus précieuse des marchandises, le film d’animation de Michel Hazanavicius, inspiré du “conte” de Jean-Claude Grumberg (publié en 2019). Après la projection, une discussion entre le réalisateur et l’auteur, animée par Samuel Blumenfeld, journaliste au Monde, a éclairé le public sur les réflexions qui ont précédé la création du film. En salle le 20 novembre.

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  • Léa Taieb
  • Valérie Abécassis

Fou, comment ne pas le devenir? 

Comment vivre depuis le 7 octobre? Comment vivre? Comment les Israéliens vivent-ils depuis? Comment Valérie Abecassis, journaliste “culture” franco-israélienne, vit depuis? Place des otages (éditions du Cerf) rejoue la déflagration du 7 octobre, le choc, la sidération, le chagrin qui s’ajoute au chagrin des familles d’otages, les fragmentations qui caractérisent la société israélienne, l’identité israélienne en mutation. Valérie Abecassis jette un regard sur ces derniers mois et s’interroge sur la vie après le 7 octobre, la sienne, celle de sa petite-fille, celle des familles démembrées, des otages fracassés. “Comment vivre depuis le 7 octobre?” pourrait être le refrain de ce récit. Interview à Paris.

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