Mario Stasi: “Contre le racisme et l’antisémitisme, je ne connais pas d’autre logiciel que l’éducation et l’information”
Tenou’a a rencontré le président de la Licra pour évoquer la hausse du vote d’extrême droite en France.
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Delphine Auffret dirige la communication de Tenou’a. Après un doctorat en histoire et sémiologie du texte et de l’image à Paris VII – Diderot, Delphine a été directrice de la communication de la LICRA, à l’Alliance israélite universelle et à dirigé le programme d’éducation au numérique Internet Sans Crainte au sein de l’agence TRALALERE.
Elle est aussi très sympathique.
Tenou’a a rencontré le président de la Licra pour évoquer la hausse du vote d’extrême droite en France.
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Dans le numéro 193 de Tenou’a, consacré à l’intelligence artificielle, l’article « Mémoire de la Shoah – Témoignage 3.0 » présentait une initiative de la Fondation de Steven Spielberg: la création de témoins hologrammes à même de répondre aux questions qui leur sont posées. Delphine Auffret a rencontré Anny Dayan Rosenman, spécialiste de la littérature de la Shoah, pour interroger ce nouveau dispositif technologique et mémoriel.
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Le long calvaire d’une mère rwandaise, réfugiée à Nanterre: elle a vu le grand vide se faire autour d’elle, toute sa famille disparue dans les massacres commis par les génocidaires du Rwanda.
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Grands témoins
Quelques semaines après le massacre du 7 octobre en Israël, Delphine Auffret a rencontré Anny Dayan Roseman et Izio Rosenman, infatigables militants de la paix. Izio Rosenman, l’un des plus jeunes survivants de Buchenwald, est devenu physicien puis psychanalyste. Anny Dayan Rosenman est universitaire et travaille sur le témoignage et le rôle des mémoires traumatiques dans la construction des identités collectives.
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Autour du film Le procès Goldman, de Cédric Kahn
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Le nouveau livre d’Ivan Jablonka est un objet protéiforme qui parlera sans doute à beaucoup, simplement parce qu’il prend pour objet la personnalité préférée des français depuis des lustres : Jean-Jacques Goldman.
Un livre d’histoire mêlé à une fresque sociologique de la France des quarante dernières années, une quête intime qui est aussi une lettre d’amour et d’admiration, ce Goldman est aussi le portrait un brin nostalgique d’une génération, celle de son auteur.
Delphine Auffret l’a rencontré.
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